Bahadur Khan en photo

Enfin des photos de Bahadur Khan, musicien exceptionnel.
Bahadur Khan
Merci Vincent. Bientôt Bahadur Khan en film ?
Il ne reste plus qu’à patienter en attendant que Lyle Wachovsky se décide à publier les enregistrements qu’il a.

23 Responses to “Bahadur Khan en photo”

  1. 20|100 écrit :

    J’ai rajouté le lien vers la séquence :
    Ici

  2. kerbacho écrit :

    Merci beaucoup.
    J’imaginais ça plus long, plus calme… comme le laissaient espérer tes très belles photos.
    Le droit d’asile de la musique classique dans les films de fiction est décidément bien limité, même au Bengale. Finalement hormis dans Jalsaghar, les séquences musicales n’y dépassent que rarement les quelques secondes.

    Connais-tu le film Deedar (avec Dilip Kumar et Nargis – 1951 – http://imdb.com/title/tt0137459/) ? L’histoire d’un chanteur aveugle qui retrouve la vue pour son plus grand malheur (peut-être une imitation de Street Singer?).
    Pas d’intérêt particulier à mon goût si ce n’est qu’on y sent l’influence ou peut-être l’imitation (maladroite) de certains traits du style de Satyajit Ray. Je pourrais le ripper.

    J’ai lu hier soir avec intérêt dans le livret du nouveau CD de Tejendra (avec Alhaiya Bilawal que je n’ai pas encore écouté) ce qu’il raconte de son apprentissage avec Bahadur Khan. Rude école semble-t-il. (à suivre)

  3. Bernard écrit :

    À la médiathèque, on ne trouve qu’un seul disque, et en microsillon, de Bahadur Khan…
    Partage souhaité dans le cadre légal du cercle de famille…

  4. kerbacho écrit :

    Je connais ce 33T pour l’avoir emprunté (référence médiathèque MW4330) : Ahir Vibhas et Dayavati. Je ne comprends pas ce que vous entendez par : « Partage souhaité dans le cadre légal du cercle de famille… »

    Il existe dans le commerce un CD Multitone BMG avec Nat Bilawal et Rageshree.
    Le seul disponible à ma connaissance en attendant la sortie du CD annoncé depuis longtemps par IAM.

    Il y a ici un Kaunsi Kanada enregistré en public en 1969 aux Etats-Unis.

    J’ai aussi des enregistrements de AIR Delhi (diffusion en 2002) que je peux mettre en ligne ici (Hemant, Mangalkauns) s’ils vous intéressent.

    Accessoirement j’ai appris récemment par Ashis Paul, le tabliste qui accompagnait Prattyush Banerjee lors de sa tournée, que Bahadur Khan et Ritwik Gathak (le réalisateur de Subarnarekha où apparaît le sarodya) étaient de bons amis, mais n’en sais pas plus pour l’instant.

  5. Bernard écrit :

    « Je ne comprends pas ce que vous entendez par : “Partage souhaité dans le cadre légal du cercle de famille…” »

    N’est-ce pas la formule consacrée, reproduite sur la plupart des médias achetés ou loués ? Je faisais allusion au partage privé (non public) de fichiers mp3… Merci infiniment pour les fichiers mis en ligne aujourd’hui (14 février). (Le serveur semble encombré pour l’instant, mais je ne suis pas pressé.)

    Tiens, le pandit Jasraj, qui est venu à Bruxelles le 13 octobre dernier – j’y étais, je ne sais pas vous – n’est pas dans votre liste des « indispensables ». Est-ce intentionnellement ? J’aime particulièrement le disque « Master’s Choice » I (médiathèque MW3639)…

  6. kerbacho écrit :

    Serveur bloqué:
    Ma faute ! Accès interdit à bundukhan.free.fr: une bêtise de Saint-Valentin, maintenant réparée.

    Cercle de famille:
    Je m’en doutais, mais j’ai préféré demander.

    N’est-il pas évident que sur ce blog, nous sommes en famille? Les chiffres de sa fréquentation sont si dérisoires que je ne vous les communique même pas.
    Je suis réticent aux dogmatismes, aussi bien celui du « tout gratuit » que celui du « tout payant ». Je vais au concert, je paye ma place, j’achète volontiers des CD et je les paye.
    J’aime la notion d’échange et de partage des enregistrements non commerciaux, dans le cadre d’une relation bilatérale qui se construit petit à petit entre collectionneurs. En fait je ne suis pas collectionneur moi-même, mais simple amateur.

    En principe, je finis toujours pas copier ce qu’on me demande, si je l’ai, mais certains de mes enregistrements restent tabous, soit parce qu’ils ont été obtenus dans des conditions rocambolesques dont la révélation serait préjudiciable à l’un ou l’autre protagoniste ou intermédiaire (avarice et convoitise vont ensemble), soit parce que le détenteur des droits moraux (généralement le musicien lui-même) m’a demandé explicitement de ne pas le faire.

    Jasraj :
    Je ne sais plus si j’y étais en octobre… ah si, c’était bien le concert avec en première partie Kala Ramnath et Sanjeev Abhyankar. Jasraj n’est pas dans mes Indispensables, sans doute d’abord parce que cette liste est en friches depuis des mois, que dis-je, depuis des années ! Ensuite Jasraj est assez inégal, surtout ces dernières années et son ostentation religieuse combinée à sa gestuelle de star du football m’agace. J’adore certains de ses enregistrements (notamment ses khyal ati vilambit où il étire les subdivisions des 12 temps de l’ektal au point d’en faire 96), mais ne les perçois sans doute pas comme indispensables. Il faudrait peut-être que je reconsidère la question, parce que je ne le connais pas très bien. Quel est le raga qu’il chante sur ce Masters Choice? Je ne sais plus si je le connais ou pas. Connaissez-vous ses frères Maniram et Motiram?

    Le concert à Bozar :
    Je fais allusion à ce concert, mais ne sais plus pourquoi, dans un billet intitulé Concert dans l’oeuf. Malheureusement ma louable intention de parler de ce concert est… restée dans l’oeuf.
    Je me souviens que je voulais en dire, entre autres choses, que des trois musiciens qui se sont produits ce soir-là, Jasraj était encore de loin le plus fort, que Abhyankar était insupportable d’affectation (cette manière de sucer le micro!) et de suffisance et que Kala était bien brouillonne.
    Et maintenant que j’ai écrit ceci, j’ai une impression de déjà vu ! Il me semble que j’ai déjà parlé de tout ça ici… Une petite recherche sur ce bloc-notes, et qu’est ce que je trouve :
    Boum boum tchac, convenu, réverbéré et sirupeux
    J’avais écrit: « Les jeunots ont encore du chemin à faire. Surtout Sanjeev Abhyankar, fieffé lécheur de micro. »
    Ouille ouille ouille…

  7. Bernard écrit :

    Nous ne parlons certainement pas du même concert, car dans le mien, Jasraj était la seule vedette. Entièrement d’accord avec vous sur l’ostentation religieuse et sa gestuelle de star. (Il a commencé par une prière et un triple baiser sur l’estrade, s’est fait resservir trois fois le

  8. Bernard écrit :

    … Ah zut, le message est parti tout seul… Je continue.)
    Il a donc fait changer trois fois son thé, et les musiciens qui l’accompagnaient le regardaient avec une vénération illuminée, comme s’il étaient en présence de Krishna en personne. Sauf peut-être le tablaïste, fameux, qui dialoguait quasiment d’égal à égal avec lui. Mais quelle virtuosité ! Des deux d’ailleurs, mais le pandit était vraiment extraordinaire. J’en étais soufflé.

    Le Master’s Choice (il y en a deux, excellents tous deux, à mon avis) est celui-ci : MW3639, Bairagi Bhairav et Darbari Kanhra.

    Je ne connais pas ses frères Maniram et Motiram. (Vous en savez, des choses !!)
    Avez-vous quelque chose les concernant ?

  9. kerbacho écrit :

    Je me disais bien qu’il y avait eu un autre concert après celui que je mentionnais et auquel j’ai décidé de ne pas aller, pour des raisons pour moi évidentes. Le premier, en fait, j’y étais allé surtout pour rencontrer Kala que je connais assez bien. Elle en avait d’ailleurs profité pour me présenter à son guru, lequel s’est empressé de me donner des nouvelles de dieu, comme s’il venait de l’avoir au téléphone. Passons.
    Dans la grande salle du Palais des Beaux-Arts, il n’y aura jamais de bon concert indien, parce que cette musique de salon ne peut-être que caricaturée dans un cadre pareil.- rec. K.F.
    J’ai quelques enregistrements de Maniram qui a été le frère aîné (beaucoup plus âgé que lui) et le guru de Jasraj. J’essayerai de les mettre en ligne à l’occasion.
    Il existe aussi un CD vidéo avec une bonne émission de Doordarshan, avec Maniram dans le rôle du chanteur principal, accompagné par son jeune frère Jasraj. C’est un produit commercial récent et disponible couramment en Inde (édité en 2005).

  10. Bernard écrit :

    Le concert dont je parle était dans la petite salle de musique de chambre, déjà beaucoup trop grande pour ce genre de musique, à mon avis. D’ailleurs, ce qui m’a choqué dès le début était la puissance de l’amplification. J’étais au quatrième rang, complètement abasourdi. Il faut dans ce cas une certaine puissance d’abstraction dans les messages qui proviennent de nos sens étourdis pour apprécier le concert. Mais encore une fois, malgré tout cela, j’ai été complètement transporté par Jasraj.

    Peut-être a-t-il besoin de se soutenir de son appareil mystique ou égotique. Après tout, c’est son affaire. De plus, j’étais un peu vexé qu’à Bruxelles, il ne s’adressât au public qu’en hindi. À la limite de l’impolitesse, si l’on veut. On se sent vraiment « mleccha »… Il faut dire que le concert avait lieu avec le concours de l’ambassade de l’Inde, mais tout de même…

  11. kerbacho écrit :

    Je ne connais que trop le casse-tête de l’amplification des concerts de musique indienne. C’est souvent une catastrophe. Lors des concerts que j’organise, je développe tes trésors de diplomatie pour concilier l’inconciliable. Et puis je finis par laisser flotter les rubans.

    Je comprends votre impression d’impolitesse pour l’avoir moi-même ressentie autrefois, mais elle n’est pas légitime. Nous n’avons pas du tout les mêmes critères en la matière que les Orientaux. Si nous Occidentaux rentrons dans l’anecdotique de la musique indienne, nous nous cognons partout, parce que nos valeurs et nos références sociales et culturelles sont tellement différentes des leurs. Ni meilleures, ni moins bonnes, mais différentes.
    C’est peine perdue.
    Concentrons-nous plutôt sur la musique, il y a là déjà fort à faire.

    En plus, généralement ce que les musiciens disent sur scène a si peu d’intérêt qu’on aurait tort de se formaliser parce qu’ils le disent dans une langue plutôt qu’une autre. Et puis, dès lors qu’il y a un public d’Indiens, que les organisateurs sont des autorités indiennes, il n’est nullement choquant que le musicien s’adresse à eux dans leur langue. Ce qu’a fait Jasraj à BXL est donc une pratique très courante, surtout chez les musiciens de l’ancienne génération, dès lors qu’ils ont dans la salle quelques Indiens à qui s’adresser. Je n’imagine même pas un Bhimsen Joshi par exemple parler anglais (alors qu’il le parle sans doute)! Idem pour Gangubai Hangal par exemple, qui parle de toute façon très peu.
    On peut même se demander si l’accent californien et le parler américain de certains musiciens de la jeune génération n’est pas plus choquant encore !

    L’essentiel n’est-il pas que Jasraj vous ait procuré le transport que vous escomptiez?

    Je me suis souvent dit que si je comprenais ce qu’ils chantent, dans la plupart des cas je ne m’en porterais pas mieux. La seule façon déjà dont la mélodie découpe la prosodie du texte dans la musique vocale indienne est aux antipodes de nos valeurs occidentales.

  12. kerbacho écrit :

    J’ai bien reçu vos deux enregistrements de Jasraj. Je ne les avais pas, mais j’en connaissais au moins un, le Darbari que je viens d’écouter, peut-être dans une autre version. J’écouterai l’autre demain.

    Quels sont les autres chanteurs que vous connaissez et appréciez? C’est souvent par recoupements et confrontation de styles différents qu’on comprend mieux ce qui nous attire plus chez un musicien que chez un autre. Il y a tellement de facteurs accessoires qui peuvent jouer un rôle et nous influencer.

    Connaissez-vous par exemple les chanteurs de l’école d’Agra? J’avais mis en ligne ici quelques enregistrements de Sharafat Hussain Khan ou de Latafat Hussain Khan. Moi-même en ce moment j’écoute beaucoup leur guru, Vilayat Hussain Khan, excellent chanteur.

  13. Bernard écrit :

    J’aime beaucoup, par exemple, Dinkar Kaîkini, dont je n’ai qu’un enregistrement, celui de la médiathèque, Bhimsen Joshi, Rashid Khan… Lakshmi Shankar, dans certains enregistrements, Girija Devi, Padma Talwalkar, dont la « maison-mère » (qui a été jusqu’à présent ma source principale) n’a aussi, hélas, je crois qu’un enregistrement…

    Je vous envoie par courrier privé ma petite liste. (De manière générale, je préfère infiniment le chant accompagné au sarangi, ou, à tout le moins, d’un instrument indien. J’ai une petite allergie instinctive – mais non prohibitive, heureusement – pour l’harmonium, que l’on utilise maintenant, semble-t-il, à tout va… J’ai tendance à préférer la musique méditative, déployant patiemment le raga, plutôt que l’allant imposé souvent par l’influence musulmane, de type chant Qawwalî…)

  14. kerbacho écrit :

    Je reviens sur un message précédent :
    Motiram est le père et non le frère de Jasraj (né en 1930).
    Ses frères aînés étaient Maniram (né 1910) et Pratap Narayan (né en 1918).
    Désolé pour cette erreur.

    Je crains que vous fassiez un raccourci irrévérencieux pour les musiciens en opposant le déploiement patient du raga et une quelconque et supposée influence religieuse ou même culturelle. On en reparlera, je n’ai pas le temps ce soir.
    D’ailleurs pour vous en convaincre bien mieux que ne le feraient mes explications, je vous conseille d’aller par exemple extraire des réserves de la médiathèque quelques vieux LP d’Amir Khan.
    En tout cas soignez votre allergie, sinon vous allez passer à côté des plus grands trésors de la musique classique indienne qui n’en ont rien à faire des chapelles.

  15. Bernard écrit :

    Attention, cher ami, la petite allergie dont je parlais (non prohibitive, ai-je dit) concernait l’harmonium, qui n’est pas un instrument indien traditionnel, instrument à sons fixes, que les meilleurs musiciens, je le sais bien, ont utilisé, car très (trop) efficace… D’ailleurs, n’est-il pas trop sommaire pour la musique modale ? Aussi bien en justesse du son qu’en possibilités de nuance d’intensité ? (Je parlais de mes goûts personnels, et voilà que j’appelle la physique à la rescousse !)

    Pour le reste, je disais que « j’ai tendance à préférer » la musique méditative à la musique trop allante, par exemple celle d’inspiration soufie. Je ne recherche pas le « push », de type « Allah hou » (première plage de Nusrat Fateh Ali Khan, ref. médiathèque MW0131, par exemple). Je suis bien conscient que c’est justement le propos de cette musique, je ne pose aucun jugement de valeur, je parlais de ma propre psychologie, en réponse à votre invitation : « c’est souvent par recoupements et confrontation de styles différents qu’on comprend mieux ce qui nous attire plus chez un musicien que chez un autre ».

    Du reste, je vous assure que j’ai tout à apprendre de vous en cette matière, et je vous remercie déjà de vos indications.

    La Médiathèque possède plusieurs CD d’Amir Khan. Lequel me conseilleriez-vous pour m’affranchir ?

    Pouvez-vous nous en dire plus sur cette école d’Agra ?

  16. kerbacho écrit :

    Que rajouter d’utile au débat harmonium versus sarangi ? Tout a été dit.

    Soyons assez humbles pour laisser aux Indiens eux-mêmes le choix du mode sur lequel ils perpétueront ou achèveront leur tradition.
    Risquons une pirouette approximative, comprenne qui pourra : On achète bien des deux-chevaux ! ;-)

    Agra Gharana : Il y a beaucoup d’exemples sonores sur la toile, sur le site de Patrick Moutal par exemple, sur ma page en hommage à Sharafat Hussain Khan, sur ma page en hommage à Latafat Hussain Khan et quelques autres dont C.R. Vyas et bien sûr Fayaz Khan. J’y reviendrai dès que possible.

  17. Bernard écrit :

    « Soyons assez humbles pour laisser aux Indiens eux-mêmes le choix du mode sur lequel ils perpétueront ou achèveront leur tradition. »

    Bien entendu, et, de nouveau, il s’agit seulement de mes inclinations personnelles. Et vous savez que j’ai été transporté par le concert de Jasraj, le 13 octobre dernier à Bruxelles, qui était accompagné d’un harmonium (et qui d’ailleurs était amplifié outre mesure)…

    Merci pour vos références : j’y cours.

  18. Bernard écrit :

    Quelle richesse, ce site de Patrick Moutal ! Cela fait trois jours que j’y suis collé !
    Ne savez-vous pas, cher Kerbacho, si ces fameuses anciennes émissions de France Musique seraient disponibles en un format moins comprimé ?

  19. kerbacho écrit :

    Sans doute qu’elles existent avec une meilleure qualité, mais pas chez moi.
    Je les écoute en boucle sur mon baladeur MP3. Ne m’étais même jamais posé la question.

    Si vous aimez cette musique, il va falloir vous mithridatiser, car les enregistrements les plus fabuleux sont encore bien plus esquintés que ça.
    C’est comme une perle trouvée dans la fumier, il faut la regarder, pas la renifler (-;

  20. Bernard écrit :

    Sur mon baladeur mp3 : moi pareil !

    Si j’aime cette musique ? Ce sont probablement maintenant parmi les plus belles pièces de ma médiathèque personnelle ! Merci infiniment, cher Kerbacho, pour ces références !

    Je ne suis pas obnubilé par le fin du fin de la qualité technique, vous savez… Si je dispose de l’original, étant donné le prix actuel de la mémoire, je ne lésine pas sur le débit (en 256 Kbps, la vina a moins tendance à ferrailler dans la compression), mais ce n’est pas indispensable à mon bonheur !

    En tout cas, en 1985, France Musique était bien différente de la chaîne actuelle…

  21. kerbacho écrit :

    Oh, mais ne me remerciez pas, je n’y suis pour rien… comme disait le flocon dans l’avalanche ! (-;

  22. calerexico écrit :

    moutal dit meme dans une de ses émissions que la qualité de la musique est très souvent inversement proportionnelle à la qualité sonore de l’enregistrement.
    les bandes de ces émissions sommeillent dans la bibliothèque de radiofrance.. mais pour les faire sortir….

    mais attendez, peut-être qu’avec le changement de direction à france musique, ils vont remettre un « s » à « musique » et réintégrer l’ami lyonnais dans la programmation nocturne.

  23. Bernard écrit :

    On pourrait aussi en faire la suggestion à François Hudry, pour Vivace… Il a des heures à remplir (la station émet 24 heures sur 24), et il me semble que souvent, les responsables des programmes manquent d’imagination au point de se rabattre sur les lettres de l’alphabet…

    D’ailleurs, j’y vais de ce pas…

Répondre

*